A la lumière de ce que tu viens de dire, ne sous estime pas l'impact de ta famille sur certains mal-êtres (et je sais ce que je dis), même si cela, et je suis d'accord avec toi, n'explique pas tout.
Mais certains vieux démons, ajoutés aux autres peuvent faire plus de mal qu'on ne le pense au premier abord. Tinou a également raison de dire que le traumatisme que tu as subi après ton opération a peut-être réveillé des choses que tu pensais avoir vaincues ou que tu avais enfouies dans un petit coin de la tête (nous sommes les champions toutes catégories pour ça, accumuler du stress qui ressort des années plus tard sous une forme pas très top).
Alors, certes, comme je te l'ai dit, le travail le plus important à faire, est avant tout un chemin intérieur, mais il est vrai que le psychiatre, en spécialiste, sait manœuvrer des leviers permettant d'ouvrir des vannes dont nous ne soupçonnions même pas l'existence. Après, je rejoins également Tinou, il faut en effet tâtonner avant de trouver "chaussure à son pied", certains psy ayant trop tendance à prescrire des médicaments plutôt qu'à écouter. J'ai toujours pensé que le véritable remède dans ces cas là, n'étaient pas les médicaments, mais bel et bien l'écoute.
Je t'envoie aussi du courage par caisse, que dis-je, par wagon !