Alouuurs... voici mon bébé, mon protégé, mon roman a moi de fantasy, que j'aime, que j'adore, avec tous ses personnages qui sont à moi. Mes enfants.
Le prologue donc.
Elle ne peut pas faire cela ! c’est impossible !
- Cela défie les lois de la nature !
- c’est à l’encontre des Fondements !
- ca ne c’est jamais vus !
- Jamais ? Mes frères, je vous invites à y réfléchir… N’avez-vous pas souvenir d’une histoire tel que celle-ci, il y a quelque mois ?
Silence. Personne ne répondit. L’homme qui venait de parler se leva, fit le tour de la table, et se plaça de manière à ce que tous puisse le voir et l’entendre.
- Mes bien chers frères, nous traversons une époque bien sombre. Des créatures, que je me refusent à appeler Miroirs, ce serait un insulte à notre race, défient sans cesse nos lois.
C’est contre nature il est vrai. Cela défie les lois de la nature, en effet.
Mais mes frères, ces phrases, presque dénuée de sens, ne les avons-nous pas assez dit ? Répétées, des dizaines de fois ? Nous avons consciences que c’est abominable ! Depuis des mois, et l’affaire Yaël, nous restons assis sur nos fauteuils, comme de vieux croutons, sans agir, juste à nous plaindre, pendant que notre peuple se fait salir par ces horrible monstres !
Nous parlons, ah, ça oui, nous parlons, nous nous plaignons ! Nous constatons, mais agissons-nous ? Alors ? Non, on ne fait rien. Il est temps de passer à l’action !Oui, mes frères, il est temps de nous battre, de tuer, de torturer, de donner la chasse à ces être contre nature !
Tout à tour, les autres Dirigeants se regardèrent. Tuer ? Torturer ? Chasser ?! Jamais on avati entendus un firigeant tenir des propos aussi violent. Un homme se leva.
- Nous te remercions pour de dicours éclairés, Ilian. Mais tu sembles oublier le Fondements numéro 4. Ai-je besoins de te le rappeller ?
- Je ne le connais que trop. Néanmoins, le conseil à le pouvoir d’annuler un fondement, Egan. Mes frères, je vous demandes donc, en ma qualité de Dirigeant spécialisé, de répondre à cette question : êtes vous pour ou contre l’annulation du fondements numéros 4, qui interdits tout meurtre ou tortures sur des Miroirs, même contre-nature ? Je vote pour.
- Moi aussi !
- De même !
- Comme les frères esztan et Laêribrem, je suis pour ! Mort aux monstres !
- Pour !
- Ces lois sont vieilles, il est temps de changer ! Je suis pour !
Ilian se tourna vers le frère Egan, un sourire au lèvre.
- Il semblerait qui nous soyions majoritaire. Puis, se tournant vers les autres dirigeants : Mes frères, vous avez fait le bon choix. Je m’en vais de ce pas prévenir les miroirs Myatan et Milesque,chefs de la police, pour leur faire part de notre décisions. Je pense que nous pouvons sortir
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Egan marchait dans l’herber de la cour interieure, perdus dans ses pensées. Ilian avait encore eu les voix des autres dirigeants. Ce petits morveux n’était là que depuis 10 mois, et déjà il avait ensorcelé le conseil ! Il défendait une politique violente, anti-paramoir, pro-police, alors que de otut temps, ils tentaient de maintenir la paix chez les miroirs. Les miroirs… ces personnes, presque sans âme, quasiment des robots, incapable de libre abitre… La défnition traditionnelle de miroir était : « deux personnes, jumeaux parfait, à la fois un et deux ». Cela fit sourire egan. Plutôt aurait put on dire : habitant d’Eland !
- Alors mon chez Egan, on se promène ? La voix d’Illian le fit sursauter.
- Ilian… bravo pour ta prestation. Elle a été très appréciée.
- Merci, merci. Pas trop déçus ?
- Je défend me idéaux.
- drôle d’idéaux. Paix, protection, tranqulité… ce n’est pas comme ça que fonctionne le monde.
- Mais quelle monde ? pensa Egan. Puis il ajouta, otut haut : qu’en savez vous ? vous êtes jeune quand vous aurez mon âge, vous saurez comment fonctionne le monde.
- Les mondes changent, mon cher egan, les mondes changent…
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-Qu’est ce qu’un Miroir ?
La question avait été posé par deux homme de petite taille, les cheveux ébouriffé, l’air découragé, comme tout professeur du collège McSwert, le collège préparant les Miroirs se destinant au travail de l’information et du sport. Personne n’avait jamais saisis en quoi les deux matières étaient proches, mais c’était ainsi. Le collège McSwert était le collège le plus surveillés de la région. Une école de journalisme, dans une ville ou la liberté d’expression –pour peu que certains pense que cela pouvait exister – était… limité, ça ne se laissait pas comme ça dans la nature.
- Allons répondait ! vous savez bien ! Vous êtes des miroirs ! Nous sommes des miroirs ! Palyss et Alsynn, 2 minutes.
Les deux miroires se levèrent, se regardèrent, mais n’eurent aucun soucis pour réfléchir à leur réponse : la communication par la pensée était la chose la plus simple à vivre en tant que Miroir.
- Hé bien, commença Alsynn, un miroir, c’est ce que nous sommes tous !
- Des êtres humains ? demande Mr Deswalf.
- Non… enfin, quand nous apparaiçons sur terre, on a… comment dire…
- Un miroir, l’interrompit Palyss, c’est le double parfait d’une autre personne. Quand des Miroirs naissent, ils sont deux. L’apparence physique est plus ou moins différentes, mais le caractère est le même. Ils sont reliés par la pensée…
- Oui, et aucun Miroir ne peut avoir de désaccord ou de secret pour l’autre Miroir. Continua Alsynn.
- Très bonne définition mesdemoiselles… Nous écrirons donc : Miroir, jumeaux parfait liés par la pensée, à la fois un et deux.
- Mais cette définition souffre d’un exception, messieur. C’était Andreas, l’un des plus beaux, des plus charmeurs, garçons du collège qui avait lancé cette question. Andreas et son miroir Galleg… certains murmuraii que galleg souffrait d’un malformation du cerveau, et que c’était pour ça qu’il était si différent d’Andreas et qu’il parlait si peu.
- En effet, Andreas et galleg, en effet, ces exceptions sont…
- Les dirigeants, messieurs.
- Expliquez, Andreas et galleg. Galleg en premier.
- Les dirigeants, ils n’ont pas de miroir.
- Oui, ce qui veut dire galleg, c’est que les dirigeants n’ont pas de Miroir, ils sont… un. C’est pour ça qu’ils nous dirigent.
- Excellent, excellent ! Vous ferez un… ou plutôt des excellents journalistes, messieur, je vous vois bien aux Journal Officielle…
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Article parus dans la Vox miroris, il y a 11 mois de cela.
Une dangereuse paramiroir évadée.
La police nous apprends à l’instant qu’une criminelle nommée Yaelle All, paramiroir tueuse notable, c’est évadée de sa prison. Rappel des faits : le 16 octobre dernier, Yaelle All, miroir enseignante, tuait dans d’atroces circonstances sa miroir Alliel. Or, au lieu de succomber comme elle aurait dus, elle survécut. Elle fut arrêtée quelques heures après son meurtre, puis maintenue dans la prison d’Adiël, le fondement 4 empêchant hélas son exécution. Si vous la voyez, prévenez de toute urgence la police (voir photo ci contre)
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Et un petit extrait situé plus loin dans le roman :
Elle était calme. Son souffle aussi, malgré l’horrible souffrance qu’elle ressentait dans son corps. Elle allait mourir. Après tout, n’était ce pas ce qu’elle désirait depuis si longtemps ?
- 5
Elle se revit, jeunes miroir, Alliel et elle, rigolant et jouant, innocente et fraîche. Elle revit Aliel la défendant contre un énorme chien.
- 4
Elle enseignait l’histoire, Alliel l’aidait. Elle riait avec elle d’une faute commune fait par un miroir.
- 3.
Elle se tenait devant le corps ensanglanté et horrifié d’Alliel. Elle ne savait pas. Elle ne savait plus. Comment avait elle put faire ça ?
- 2
Une brume rouge s’élevait du corps de sa miroir. Et s’abattait sur elle, la remplissant de douleur, de souffrance, la mettant au supplice, la brûlant au plus profond d’elle-même.
- 1
Elle regardait cette jeune fille, si rebelle, si entêté, qui se tenait devant elle. Elle lui tendait la main, malgré tout. Elle espérait. Elle l’aiderait, à fuir, à fuir la police, à tout fuir…
- Tirez !
Elle sourit calmement. Malgré tout, Palyss serait capable de vivre. Elle attendit le bruit du pistolet, le sifflement de la balle, l’explosion. Mais rien. Rien. Elle se tourna. Un homme, portant la tenue des dirigeants, avait fait signe aux soldats d’arrêter. Il lui refusait la mort. Il se tourna vers elle, un sourire effroyablement sadique aux lèvres.
Andreass.
Début du chapitre 1 (peut-être)
Les cris des hommes se rapprochaient. La jeune fille courrait. Elle fuyait toute cette haine. Elle partait. Loin de toute cette rage, de toute cette violence, de toute cette uniformité, de tout ces… miroirs.
Palyss ouvrit les yeux en sursautant. Haletante, en sueur, elle émergea lentement de son cauchemar.
- Ca va ?
La phrase de Yaël lui semblait venir d’un autre monde.
-Oh hé, Palyss, je t’ai parlé !
-Oui, oui, ça va.
-Encore ce même cauchemar ?
- Pas cauchemar, souvenir.
- Soit. Mais ce souvenir est un cauchemar.
- Oui, en effet, c’est à moi de monter la garde ? demanda t’elle pour changer de sujet.
- Non, ce sera à toi dans une heure.
Docilement, Palyss obéit, ferma les yeux et tenta de se rendormir. Tenta.
- Tu ne dors pas.
Ce n’était pas une question, juste une constatation.
- Non.
Il y eut un silence.
- A quoi penses-tu ?
- A comment je suis arrivée ici.
- Racontes le moi.
- Tu ne t’en souviens pas ?
- Je me rappelle bien quand je t’ai recueillit, mais pas ce qui t’est arrivé avant.
- D’accord. Je vais te raconter. Mais à une unique condition. Tu me raconteras ce qui t’es arrivé, à toi.
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La vie; c'est ce qui vous arrive pendant que vous étiez occupé à faire des projets"John Lennon
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